MUSIQUE (AUDIO & VIDEOS)



LA MUSIQUE AMAZIGHE AU MAGHREB

La musique Amazighe au Maghreb représente avant tout une histoire et une culture; elle mérite d'être prise en considération à cause des risques de disparition qui menace cet art humain. Dans l'absence des mesures qui préparent les nouvelles générations à une véritable relève, et vu la politique de négligence menée doucement sur la terre de Tamazgha, la musique engagée, qui assure l'attachement de l'Homme à ses valeurs ancestrales, risque de se taire pour toujours. On peut dire sans contrainte aucune que la musique amazighe est dans une situation agonisante. L’Algérie disposait d'un bon nombre de musiciens qui attestent encore de l'existence d'un ensemble de poèmes et de chansons qui parlent d'un nationalisme amazighe en lutte constante. Mais la succession du pouvoir post-colonial, basé sur le Jokobisme Étatique, a opté en filigrane, pour une politique victorienne qui vise à chasser toutes les formes d'arts par la négligence des institutions en charge qui ne prenne en charge que la lâcheté. Quand à lui, le Maroc ne fait pas l’exception, il a bien réussi l'exclusion de tout art amazighe, voire son balayage des lieux les plus intimes aux amazighes; le Maroc n'a pas eu la même expérience vécue en Algérie, il a choisi le laisser-aller en réduisant la création artistique et musicale dans l'école. Un système de mémorisation des contenus étranges a été instauré à l'école marocaine, l'éducation musicale a été supprimé des programmes scolaires et le sousci principale dans les établissements scolaires c'est le renforcement de l'idéologie arabo-islamique. Une matière qui ne se trouve presque que dans les grandes villes avec des contenus non amazighes. La chute du régime totalitaire et sanguinaire de Kaddafi a bel et bien montré que la politique de purification ethnique contre Imazighen et la glotophagie linguistique de Tamazikht ne fait que renforcer le sentiment identitaire des populations: ainsi, à l'image des Kabyles, Imazighen de la Libye ont bien utilisé la chanson Amazighe pour chanter leurs souffrances, leurs victoires et leurs espoirs juste après le collapse du pouvoir. Un retour prometteur de Tamazikht après le génocide.

 Regardez le lien:
http://www.youtube.com/watch?v=vU9Q6N29imE
http://www.youtube.com/watch?v=3PIGv9AVh1M
http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=juQYYzf1D60
http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=gP3QPei-GOs#!
http://www.youtube.com/watch?v=TkN2lqyiIZk
http://www.youtube.com/watch?v=dVbAm9vYqB4
LA MUSIQUE DU RIF 

La musique du Rif a été beaucoup améliorée depuis les années 1980 à nos jours. La proximité de la région et son ouverture sur l’Europe, à travers une diaspora très dynamique et l’existence espagnole sur la zone, aussi bien sur le terrain qu'à travers les médias, ont bien eu leur impact sur le comportement des gens. Ceux-ci ont introduit dans leur vie un grand nombre de choses dont la musique moderne. De plus, la conscience de la jeunesse du Rif, suite aux combats acharnés menés par Abdelkarim Alkhattabi, lors de la colonisation espagnole et les événements historiques qu'a connus cette région sont des éléments très déterminants dans la renaissance du Rif. Ainsi la jeunesse du Rif a bien assimilé la leçon en se servant de la musique comme moyen de lutte, voire de combat. Contrairement à la musique traditionnelle qui demeure toujours omniprésente, les instruments modernes sont très utilisés par les jeunes musiciens. Pour les contenus, la musique Rifaine tend beaucoup à défendre l'identité Rifaine en langue Amazighe, contre toutes les formes d'oppression. Le résultat est bien là: un grand nombre de chanteurs, de musiciens, de poètes et par la suite une continuité, assurée et durable de la langue Amazighe sur les lieux. Parmi les personnes qui ont contribué à la sauvegarde de la langue Amazighe et de la promotion de la musique moderne dans cette langue qui se trouve encore dans une phase suicidaire, je cite Walid Mimoun, Khalid Izri, Mimoun Rafrouh, Twatoun, et la liste est longue.
Mes excuses aux autres. Pour plus d'info., les liens ci-après peuvent vous être utiles.
Voir les liens:  
http://www.youtube.com/watch?feature=endscreen&v=Go8hZIvOgSc&NR=1
http://www.youtube.com/watch?v=0S4Na1pRDjQ&NR=1&feature=endscreen
http://www.youtube.com/watch?feature=endscreen&NR=1&v=S0Tcb2wBVBc

http://www.youtube.com/watch?v=kmBGigm3FwA
http://www.youtube.com/watch?v=RkGYtD72GQI
http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=wjr-G55xNX0#!


LA MUSIQUE D'ATLAS

La musique au moyen Atlas a été très avancé en comparaison aux autres régions montagneuses de l'Atlas. Des instruments de musique moderne ont été utilisés et des groupes ont été très entraînés; même les paroles poétiques ont été choisi minutieusement par des poètes qui sont devenus célèbres tel que Hammou Ouyazid, Mohamed Rouicha, Mohamed Maghni, Ahouzar, Hadda Ouaakkui, etc. Le violon est l'instrument le plus favorisé au moyen Atlas; mais avec la réussite du célèbre Mohamed Rouicha par sa propre création d'un instrument "Loutar" il a contribué à la propagation de cet instrument au cours des années 1980 chez la jeunesse Amazighe de l’époque. Une très belle voix qui a participé à la sauvegarde le la langue Amazighe. Ainsi, la chanson Amazigh d'Atlas commence à se développer en utilisant de nouveaux instruments musicaux. Pour participer à la nouvelle vague de musique qui arrive chaque fois sur scène, les amateurs parmi la jeunesse locale, commence à recourir à des instruments plus sophistiqués pour répondre à leur besoin. La guitare a été introduite, malgré l'absence des institutions chargé d'enseigner la musique, surtout dans les grandes villes du moyen Atlas.
Voir les liens:
http://www.youtube.com/watch?v=9Fh8ysGzxSg
http://www.izlanzik.net/Music-atlas/zik.php?adghar=El%20Hassania/Hawl&cid=38&lid=328&Amdyaz=El%20Hassania:%20Hawl
http://www.youtube.com/watch?v=PLF3w9zYVPE&feature=share 
http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=KCqldIs8Rgo#!
http://www.youtube.com/watch?v=HIym8cXJHNc
http://www.youtube.com/watch?v=SWQfEacXH6g
http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded
http://www.youtube.com/watch?v=0sPG4agKhAY&list=PL0Zk_eITA0yEZkLuL1jhOzoqTmemQLwaC
https://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=n3uvM7e29Zc#at=159
https://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=XiKGAe1i5lk
https://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=POL3tiDAed4#t=30
https://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=zwgAF1EiXys#t=37
La musique Waraini peut être définie comme l'ensemble des chants et de danses locales qui expriment la joie des populations à un moment donné de l'histoire. C'est à dire, toute création artistique représentant une spécificité propre à Ait Warain et qui vise à communiquer une culture, une langue et une histoire dont le sujet reste toujours l'homme Amazighe, qui ne peux pas fêter sa joie que dans la présence de son groupe. Un esprit qui estime beaucoup plus le collectif que l'individualisme. On utilise plusieurs systèmes de compositions qui varient du plus simple au plus complexe: le corps, la voix, le décore, l'habillement, les couleurs, la lumière et les notes musicales qui riment en fonction des paroles. Historiquement, toute ces pratiques se passe en langue Amazighe. Les textes sont souvent choisies avec un poète qualifié et chanté avec une musicalité très amazighe qui s'inspire beaucoup du rythme du Moyen Atlas et celui du Rif.
 La musique locale Waraini ne dispose pas d'instruments variés; dans la majorité des cas, un seul type d’instrument suffit: le tambour "alloun" ou la flûte "tamja" accompagné de chants et de "Youyou" d'encouragement au groupe. Elle est toujours faite avec une grande collaboration d'un groupe sur scène afin de réussir un événement de fête pour le groupe. Elle se base beaucoup plus sur le gestuel et le rythme. Ainsi on trouve:

AHIDOUS: L’action du groupe guidé par un maestro « Bou ndih » qui mènent son
action folklorique sous  les coups de tambours «Alloun» orchestré par des animateurs spécialisés dans ce type de musique"Chikh n Walloun". De l'autre part, le maestro guide et œuvre courageusement à exposer son talent résidant dans l'harmonisation de l'action des animateurs en tambours et les chanteurs divisés en deux groupes liés en chaînes de gens et femmes afin de réussir la répétition du refrain choisi comme chanson «Lgha ».
TAYAFFARTElle se définit comme une poésie organisée pour chanter; écrite par un poète qualifié "Amdiaze/ Anachad" en Amazighe. L'auteur est, dans la plupart du temps, le chanteur  lui-même; dans d'autres cas, un autre chanteur peut prendre la relève pour chanter la même chanson dans d'autres occasions similaires.

TBOURIDA: Elle s'appelle aussi "Imrabten" chez Ait Warain; elle présente un métissage très positif avec les tribus arabisées du voisinage. Il est faite par deux instruments : le "Tambour" Tbal en Amazighe, et "Tamja" ou "lGhita". La Tbourida s'inspire beaucoup des chants de "Aalaoui" qui porte encore l'empreinte d'un défilé militaire. Un groupe des "chioukh" ayant une connaissance parfaite du métier se présente sur scène pour exposer un talent merveilleux de geste et de chants qui rime parfaitement avec les coups des tambours. Lors de cette exercice merveilleuse,  "Imrabten" porte chacun un fusil chargé juste de poudre explosive "Baroud" pour finir la scène avec des coups de feu dans l'air. Mais cette activité commence à connaitre des restrictions de la part des autorités locales qui obligent souvent une autorisation préalable pour fêter ce type d'art.

TAMJA: Le musicien de la flûte s'appele en Amazighe "Bou tghanimt" ou bou Tamja. C'est un métier très propre aux bergers qui recourent à ce type de musique pour se détendre après des heurs de course dans les crêtes montagneuses derrière les troupeaux. Mais la plupart des bergers s'en servent en compagnie de leurs troupeaux, soit dans le pâturage soit à domicile, avec la présence de toute la famille; une mélodie très particulière qui rend les brebis très passives et soumises à dormir comme on dit chez Ait Warain. La flûte est utilisée pour la composition d'une musique très douce, dans des occasions très intimes entre familles. Jouer à la flûte est un talent qui risque de disparaître avec le temps suite à sa nature associée toujours avec la compagne et la vie nomade; l'absence des institutions de transmission du savoir en matière de musique est aussi une autre raison qui accélère la fin de cette art ancestral; d'autre part, le recours forcé de la tribu à la consommation des productions musicales importés de tout bord sur le territoire régional reste un facteur décisif au sort de toute les genres de musique ancestral chez Ait Warain.  
Pour plus d'informations, veuillez voir les liens ci-après:
http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=QjIMwAzrb7w#!
http://www.youtube.com/watch?v=OhYUGekYtxY
http://www.youtube.com/watch?v=Knhmz6e45iQ


Des poètes et des compositeurs sans musique

Un bon nombre de poètes et de compositeurs sur la région d'Ait Warain produisent des textes prêts à être chanté, mais ils se trouvent toujours dans la contrainte de le faire sans instruments de musique à cause d'une déficience en matière de formation musicale et le manque d'institutions spécialisées. L'école Marocaine est déconnecté complètement de la réalité Amazighe, elle œuvre toujours dans le but d'entasser la mémoire des citoyens par des contenus idéologiques inappropriés. Aucune importance n'a été accordée aux arts, à la musique, au sport qui contribuent souvent au développement de la personnalité de l'individu. Le résultat est bien là. Des talents qui jouent parfaitement avec les mots et composent des chansons très appréciées par l'ensemble du public Waraini; avec une précaution sans précédent et sans contrainte aucune ils produisent des dizaines de textes en Arabe et en Amazighe; ils sont amenés à faire du bricolage pour toute leurs vie afin de garder l'harmonie avec soit même et faire plaisir au public locale en besoin permanent de musique et de tous ce qui va réduire leurs souffrances.

Le poète Chekh Elouardi 
En premier; il convient de signaler le cas de Chekh Elouardi. 
Une très modeste personne qui ne cherche qu'à créer de l'ambiance dans son entourage familiale d'abord. Son talent artistique ne le laisse jamais passif au sein de sa familiale. Sa réussite réside dans sa détermination à commencer le changement initialement à sa famille, en convainquant tous le monde à contribuer à son ambition artistique. Sa volonté vise à introduire la communauté Waraini à la chanson moderne basée sur les instruments. Ainsi, la famille regroupe pas mal de chanteurs, de musiciens, et de compositeurs qui peuvent reprendre le flambeau. Un sage homme qui n'hésite pas à dire ses émotions, à exprimer son amour à sa bien aimé dans un milieu très réservé; Un brave homme, qui a lancé un défie depuis son enfance afin de réussir sa trajectoire artistique en Tamazikht. C'est avec conscience et détermination qu'il parle de son identité, de sa mission comme messager de Tamazikht au niveau local; il n'a jamais caché son amazighité; au contraire il ne s'exprime qu'en amazighe avec ses interlocuteurs amazighes. Il dispose d'une énergie poétique très impressionnante. Les thèmes qu'il a soulevés portent essentiellement sur la femme, la nature, la vie et la mort. Des thèmes existentiels qui qualifient notre chanteur d'une universalité méritée. Veuillez voir le lien:
Le poète Si Ahmed Ouhlal

Si Ahmed Ouhlal est parmi les grands poètes d'Ait Warain. Né à Maghraoia (Souf n Mallou), province de Taza, Maroc  où il a suivi ses études coraniques. Il a parfaitement appris le coran; il accompagnait les "tolbats" aux diverses cérémonies religieuses organisées au niveau local, mais son déterminisme et son talent poétique  lui ont apporté plus de problèmes avec son équipe. Pour le rendre à la « raison », les tolbats le surveillent sans cesse. Une fois qu’il participe à une fête  de mariage avec ses beaux poèmes (tayaffart), on lui impose de payer une amende (lhaq) au groupe. Comme il ne peut pas supporter le chantage, il  quitte le groupe pour une vie indépendante, libre et plus en contact avec son environnement.
Si Ahmed a finalement décidé de vouer toute son énergie à Tayaffart avec une charge sémantique très religieuse, qui tend beaucoup à ce qu’on appelle « Dkir ». C’était peut être pour équilibrer son choix avec les "tolbats" qui l’accusent d’être dévié. Il à marqué la mémoire des Ait Warain par une série de "Tiyaffarin" et de "Dkir" qui portent sur des thèmes universels tel celui de la femme, la vie et la mort, la ville et la campagne, les conflits sociaux et politiques (le Sahara Marocain), l’islam,etc.
Si Ahmed Ouhlal n’a aucune tendance politique ; il compose ses poemes en Arabe comme en 
Amazighe. Au contraire il ne s'exprime qu'en amazighe avec ses interlocuteurs amazighes. Il dispose d'une énergie poétique très impressionnante. Les thèmes qu'il a soulevés portent essentiellement sur la femme, la nature, la vie et la mort. Des thèmes existentiels qui qualifient notre chanteur d'une universalité méritée.
On trouve aussi plusieurs personnes dans des occasions différentes qui chantent de meilleurs morceaux de "Tayaffart" sans être sure de la personne ou l'artiste à l'origine du texte original. D’où l'importance d'une action de collecte et de sauvegarde d'un trésor qui contient surement l'histoire et la langue Amazighe dans sa version la plus intact. A cet effet, je tire la sonnette d'alarme afin de conjuguer les efforts en synergie avec tous les intervenants à fin d'agir avant qu'il soit trop tard. Un trésor qui mérite d'être valorisé et mis à la disponibilité des générations futures. A titre d'exemple, je vous présente les liens ci après:
http://www.youtube.com/watch?v=p6rcT0sKCWQ
http://www.youtube.com/watch?v=LatlUt9x5nw
https://www.facebook.com/photo.php?v=1414180028844529&set=vb.632725403472287&type=2&theater
http://www.youtube.com/watch?v=CbuFgPR-b5U&feature=share

LA MUSIQUE KABYLE
La kabylie dispose d'un historique musicale très enrichissant, elle représente un véritable trésor dans l'ensemble de Tamazgha. Les artistes bénéficient d'un rayonnement très important sur l'ensemble du Maghreb, voire dans l'ensemble de Tamazgha. Elle compte plusieurs écoles de musique: le Classique, le Chaabi, le Rai, la chanson engagée et la chanson moderne. "L' Achwiq" n'est qu'un exemple de la musique traditionnelle Kabyle; un style musical autrefois réservé aux femmes pour exprimer un sentiment de joie ou de deuil. Il est "chanté" sans instruments sous une forme mélodieuse. Lla Yamina, Lla Zina, Lla Ounissa, Lla Chrifa, Nouara, Dhrifa, Ourida, Hnifa, la maman de Lounès Matoub figurent parmi les célèbres femmes amazighes qui ont contribué à l’émergence de ce type de chants.
La musique Andalous est un genre musical profane et savant, avec une spécificité Maghrébine, distinct de la musique arabe classique pratiquée au Moyen-Orient. Appelée aussi le Gharnati suite à son origine qui renvoie à la péninsule héberique. Ses principaux interprètes sont Kabyle, et produit à la fois en Arabe et en Amazighe. Pour exemple, je cite Abdelkader Chaou. 
La chansons de style moderne, d'autre part, est la musique la plus appréciée par la jeunesse. Elle est composée d'une façon plus légère et soutenue par des instruments modernes; les paroles portent sur l'amour. Un style qui tien a rompre avec les tabous ancrés dans la société Amazighe. Mohamed Allaoua est le star de ce style sur toute la kabylie.
Concernant la chanson engagé ou la chanson contestataire, elle date depuis les années 1970. Juste après l'indépendance de l’Algérie et l’émergence des revendications politiques, des jeunes voulant chanter le changement et révolutionner la mentalité kabyle en se basant sur la chanson.  Parmi les chanteurs qui ont  marqués cette période, je cite le célèbre Idir, Ait Menguilet, Sliman Azzam et bien d'autres vont suivre comme le feu Maatoub Lounès, icone de la chanson engagée en Kabylie, voire dans toute Tamazgha . 

Voir les liens:
http://www.youtube.com/watch?v=jbyNOcmoQWQ&feature=endscreen&NR=1
http://www.youtube.com/watch?v=PHQy1BL_4sY
http://www.youtube.com
http://www.youtube.com/watch?v=ld6Sc5bsAoI
http://www.youtube.com/watch?v=hWuc8Z9iNcw
http://www.youtube.com/watch?v=tFQtk9h40Cg&feature=endscreen&NR=1
http://www.youtube.com/watch?v=zj89RmeSA7k
http://www.youtube.com/watch?v=Gyw_p-qhWPI
http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=CLHD0mQwNIk#!
http://www.youtube.com/watch?feature=endscreen&v=T5i84StBgTI&NR=1
http://www.youtube.com/watch?v=WniZ17Sn9mM
http://www.youtube.com/watch?v=oQZpHWm_N6k
http://www.youtube.com/watch?v=DHaFzkgk_Bs&list=PL9BFADC5ADA6C4B04
http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=2NTtWr6I0ms
http://www.youtube.com/watch?v=d9ijAxgc_jI
http://www.youtube.com/watch?v=N1xvC7ZaHFo
http://www.youtube.com/watch?v=AhRMqYc34jU
http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=kV_tx8JKRNg#!
http://www.youtube.com/watch?v=A2Xbo4oricg&feature=em-hot-vrecs
http://www.tamazgha.fr/Aqlalas-ou-l-oeuvre-litteraire-qui.html
http://www.youtube.com/watch?v=u2zysQ5d7WI 
http://www.youtube.com/watch?v=LSBFxlKi9V4  
http://www.youtube.com/watch?v=5SO1rLg5WmE

La Musique de Sous
http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=68BJ4IIa5ro#! 
http://www.youtube.com/watch?v=TG1Yvmk3ajw#t=170

La Musique au Diaspora
La musique des Imazighens au diaspora connaît une évolution très rapide au niveau des instruments utilisés et des contenus des messages transmis. Une évolution qui n'est pas toujours sans risques à cause de quelques déviations qui touchent à la substance originale faisant référence à Tamazikht. Les musiciens commencent à recourir à Tamazikht comme réaction contre la machine de dénigrement dont ils souffrent aux pays d'accueil; une vengeance contre l'oppression de la vie moderne qui ne cesse de mettre l'identité Amazighe en quarantaine. Ainsi on assiste à des morceaux de musiques composées avec un panaché d'une multitude de langues, qui porte atteinte à l'originalité de l'Amazighe et mène à sa batardisation, surtout qu'elle n'est pas encore standardisée.Voir les liens:

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